Village du Monde

Pour cette 44ème édition, Paléo nous emmène au Québec!

Le Village du Monde à la conquête des grandes scènes

Le Village du Monde à la conquête des grandes scènes

Le Village du Monde de la 44e édition du Paléo Festival sera consacré aux sonorités et à la gastronomie du Québec. Une forêt dans les copeaux, des feu de bois et une (presque) authentique cabane à sucre: une expérience complète à ne pas manquer!  Si le Village du Monde était originellement destiné à accueillir des sons émergents et ainsi à sortir le festivalier lambda de sa zone de confort musicale, aujourd’hui, le concept a évolué. Depuis sa création en 2003, nationalités et cultures se sont succédé, laissant place à des rythmiques, des mélodies et des gastronomies aussi riches que variées. Daniel Rosselat s’est exprimé sur les origines du village du monde auprès des rédacteurs de 24 Heures il y a quelques années. Selon l’organisateur, « le but était de donner un coup de projecteur sur une richesse musicale et culturelle qui a de la difficulté à s’exporter ». L’idée était donc de sortir des tubes américains vus et revus et de voyager un peu. 2019 : cap sur le Québec Pour cette édition, c’est le Québec que les festivaliers sont invités à découvrir. Mélodies entraînantes et chanson populaire se succéderont sur scène, sans oublier des musicalités autochtones moins familières telles que celle de Elisapie. Le Dôme, scène principale du village du monde, vibrera donc aux sons de ces personnalités québécoises que nous nous réjouissons de découvrir. Aussi sur la grande scène Les Québécois posent leur drapeau sur le village du monde certes, mais pas que. Pour cette 44eédition du Paléo Festival, deux têtes d’affiche viendront compléter la programmation de la Paléo avec ce petit accent que nous connaissons bien. En effet,... lire plus

Voyage à travers la Chine

Cette année, le Village du Monde a pour thème l’Extrême-Orient. Chaque année, c’est une immersion totale dans un univers presque inconnu pour nous, petits suisses en visite à Nyon. Le décor n’a pas manqué son but cette édition. Des jolis portails rouges, qui donnent presque l’impression de penétrer dans le quartier rouge, non amstellodamois mais bien chinois. Et parmi ces portes, on a trouvé, au détour d’une lumière Maïa Barouh. Groupe franco-japonais, cette petite formation a réussi à enchanter la foule, tant par les voix envoûtantes des deux chanteuses que par la fougue du claviériste. Une des plus belles découvertes de la soirée, alors que j’étais simplement de passage pour voir à quoi ressemblait le Village du Monde de cette... lire plus