par Ainhoa Ibarrola | Juil 29, 2016 | Paleo 2016, Village du Monde
« Comme le scotch single malt, l’équipe de The Real McKenzies se bonifie avec le temps. » Sur la scène du dôme pour le dernier concert dans le village du monde de cette 41e édition de Paléo, ce sont « The Real Mckenzies » qui ont clos les festivités, et quelles festivités ! Selon Daniel Rosselat, le village du monde a attiré les foules cette année, avec son thème celtique qui collait particulièrement bien à l’ambiance générale de Paléo. Avec ses spectacles de théâtre amateur relatant des légendes celtes, sa diversité culinaire et ses bassins d’eau dont la propreté se dégradait à la vitesse dont un véritable irlandais peut descendre une guinness, le village du monde a définitivement séduit, et on est presque déçu qu’il ne soit pas permanent. La rumeur court que la tour vagabonde pourrait revenir l’année prochaine, ou que le voyager’s pub pourrait devenir permanent, mais nous savons tous que les rumeurs sont peu fiables quand il s’agit Paléo, et qu’il vaut toujours mieux attendre les annonces officielles. Mais revenons-en à notre groupe de gais lurons tatoués. Au vu de leur nom, devrions-nous nous attendre à des real écossais pour ce dernier concert ? Pas vraiment, à entendre leur accent. Les Real Mckenzies sont en fait un groupe canadien, dont la musique varie entre joyeuses beuveries, influences punk, hard-folk et rock à laquelle ils ajoutent (quand même) des sonorités traditionnelles celtiques grâce à leur cornemuseur (oui oui, on dit comme ça), de son doux nom Aspy. Pour ce qui est des autres instruments, on retrouve les grands classiques du punk avec des guitares électriques à la distorsion poussée à bloc, un chanteur qui roule...
par Ainhoa Ibarrola | Juil 24, 2016 | Ainhoa, Coup de coeur, Paleo 2016
Une belle découverte, que je me réjouissais de voir depuis la sortie du programme ! Encore plus séduite par leur format en “concert sauvage”, super concept de Couleur3, qui j’espère sera renouvelé l’année prochaine. Place au feu d’artifice. Paléo tu me manqueras....
par Ainhoa Ibarrola | Juil 22, 2016 | Paleo 2016, Village du Monde
Denez, chanteur et compositeur breton revient à Paléo 18 ans après sa dernière visite. Ses compositions métissées entièrement acoustiques voyagent des thèmes celtiques aux tsiganes, en passant par des influences grecques, slaves et yiddish. Retour sur son parcours et sur sa performance. Denez Prigent grandit en Bretagne où il est profondément marqué par la beauté des paysages de l’île de Batz à l’horizon, qui l’inspireront dans un élan artistique et par une découverte : le breton. Il est émerveillé par les sonorités de cette langue qu’il étudiera longuement. Lorsqu’il accepte le défi osé de chanter à cappella en breton des chants traditionnels en 1992, il crée un véritable phénomène qui lui ouvrira les portes du succès. C’est à ce moment-là qu’il décide d’incorporer des sons électroniques à sa musique traditionnelle dans un second album, qui enthousiasmera le public ainsi que la presse, et qui lui permettra de venir pour la première fois au Paléo Festival en 1998. Rappelons d’ailleurs que cette 23e édition accueillait également des artistes encore présents cette année, comme Louise Attaque et Jean-Louis Aubert. Suite à son troisième album, Denez s’essaie aussi à la musique de films, en collaboration avec des réalisateurs tels que Ridley Scott pour la bande originale du film « Black Hawk Down », Jacques Malaterre dans le documentaire « L’Odyssée de l’espèce » et Olivier Dahan pour la B.O. du film « Les Seigneurs ». Suite à la sortie de son quatrième album en 2003, Denez fera une longue pause consacrée à l’écriture, les voyages et l’expérimentation musicale pendant plusieurs années. C’est en 2015 qu’il reviendra sur le devant de la scène avec son dernier album « An Enchanting Garden », dans...
par Ainhoa Ibarrola | Juil 21, 2016 | Ainhoa, Coup de coeur, Paleo 2016
Tout droit venus du stand “Paprika” dans le quartier de l’Orient, ce soir je rends hommage aux naans au fromage qui ont offert le plus beau préambule qui puisse être à la fabuleuse Jain. Merci à Amandine. Merci au monsieur qui décolle ces merveilles de la casserole à température parfaite. Merci à Jain. Merci...